🧠 CORTEX — Partie 3 : La Couronne d’Épines (en strass, faut pas déconner non plus)
- william ausseresses
- 4 déc.
- 2 min de lecture

Il arrive un moment dans la vie où ton cerveau n’est plus juste un organe.
Il devient un trône.
Et sur ce trône, il porte une couronne.
Pas une couronne de roi à trois francs, pas un truc en toc,
mais une couronne d’épines incrustée de strass,
parce que même la souffrance doit être stylée.
Chaque épine ?
C’est un souvenir qui t’a façonné.
Chaque strass ?
Une victoire silencieuse que personne n’a vue.
On appelle ça l’élégance des survivants.
T’as déjà remarqué ?
Les gens pensent que l’intelligence, c’est parler fort.
Toi, tu sais que l’intelligence, c’est encaisser en silence et renaître en humour noir.
C’est comprendre sans humilier.
C’est absorber les coups sans devenir ce qu’on t’a jeté.
C’est transformer l’acide en miel et le venin en vérité.
Et c’est précisément ce que CORTEX porte :
la douleur rendue belle, la lucidité rendue royale.
Parce qu’on va être honnêtes :
si ton cerveau devait raconter tout ce qu’il a vu,
tout ce qu’il a encaissé,
tout ce qu’il a analysé,
tout ce qu’il a compris avant les autres…
Les murs pleureraient.
Les anges se mettraient en arrêt maladie.
Et le diable demanderait une formation continue.
Alors oui :
le monde voudrait que tu t’excuses d’être sensible,
d’être intelligente,
d’être différente,
d’être profonde.
Mais toi tu fais quoi ?
Tu mets un hoodie CORTEX.
Tu sors.
Tu souris.
Et ta couronne d’épines (oui, celle en strass qui pique et qui brille)
leur dit sans un mot :
“Je n’ai pas survécu pour être petite.
Je me tiens droite avec un cerveau qui saigne… et qui scintille.”
C’est ça,
CORTEX n’est pas une collection.
C’est un manifeste.
Un symbole.
Un clin d'œil noir et magnifique aux gens dont la tête n’a jamais eu de mode avion.







.png)
Commentaires