💥 Biums tombe les masques
- william ausseresses
- 6 oct.
- 2 min de lecture
Le street a trop longtemps porté les mêmes visages.
Des marques clonées, des looks copiés, des esprits formatés.
Mais dans les rues, y’a celles et ceux qui refusent le costume.
Ceux qui marchent avec leur vérité, tatouée sur du tissu.
Biums, c’est ça : la chute du masque.
Un vêtement qui ne cache pas — il révèle.
Un t-shirt peut être un cri, un hoodie une renaissance.
Ange, démon, lumière ou ombre : on est tout ça à la fois.
Le style Biums ne cherche pas à plaire.
Il cherche à être.
Parce que la rue n’appartient à personne, mais la façon d’y marcher, elle, t’appartient.
Ils se disent rebelles, mais portent tous la même étiquette.
Les mêmes coupes, les mêmes slogans creux, les mêmes photos en studio aseptisé.
Leur rébellion est repassée, parfumée, vendue en série limitée.
Ils jouent les âmes libres, mais ne supportent pas la différence.
Leur liberté se vend à la caisse, en trois tailles et deux couleurs.
Biums ne joue pas ce jeu-là. Ici, on porte ce qu’on est.
Pas ce que les autres veulent voir.
On ne vend pas un look, on libère une peau.
Nos vêtements n’ont pas besoin de validation : ils respirent la vérité.
Le vrai style ne s’achète pas, il s’assume.
C’est celui qu’on forge à coups de doutes, de blessures, et de rêves qu’on refuse d’éteindre.
C’est le cri qui sort quand tout le monde se tait.
C’est l’ange et le démon qui marchent côte à côte sur le bitume, fiers, invincibles.
Biums, c’est pas un masque. C’est une peau de plus.
Une manière de dire au monde : “Je ne te ressemble pas, et c’est ma plus belle réussite.”







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